…Schools are organized in a way that guarantees every child a spot in a classroom. When families move or teachers retire, parents aren’t forced to call multiple schools looking for a teacher who is accepting new students. They’re never told that every local school is full, or that an education is only available to their children on an emergency basis.
Why shouldn’t primary care work the same way?
The idea of reorganizing primary care so that it works more like public schools isn’t a new one, but it is enjoying a renaissance as Canada struggles with a shortage of family doctors that is about to get worse.
…primary-care researcher Dr. Tara Kiran is leading a series of national surveys and provincial focus groups called Our Care. The effort has found broad support for reorganizing primary care along the lines of public schools, so long as patients can retain some choice in providers.
As Dr. Kiran pointed out, other countries with high-performing medical systems already do this.
Une réorganisation des soins primaires pourrait atténuer la pénurie de médecins de famille
Extrait du Globe and Mail
… Les écoles sont structurées de manière à garantir à chaque enfant une place dans une classe. Lorsque des familles déménagent ou que des enseignants prennent leur retraite, les parents ne sont pas obligés d’appeler plusieurs écoles pour trouver un enseignant qui accepte de nouveaux élèves. On ne leur dit jamais que toutes les écoles locales sont pleines ou que leurs enfants ne pourront être scolarisés qu’en cas d’urgence.
Pourquoi les soins primaires ne fonctionneraient-ils pas de la même manière?
La réorganisation des soins primaires de manière qu’ils fonctionnent davantage comme des écoles publiques n’est pas une idée nouvelle, mais elle connaît un regain d’intérêt alors que le Canada est confronté à une pénurie de médecins de famille qui est sur le point de s’aggraver.
… la Dre Tara Kiran, chercheuse en soins primaires, dirige une série d’enquêtes nationales et de groupes de discussion provinciaux intitulée NosSoins. Cette initiative a permis de recueillir un large soutien en faveur d’une réorganisation des soins primaires sur le modèle des écoles publiques, à condition que les patients puissent conserver un certain choix quant aux prestataires de soins.
Comme l’a souligné la Dre Kiran, d’autres pays dont les systèmes médicaux sont très performants procèdent déjà de la sorte.